• Un chercheur d’or amateur australien a découvert une pépite d'or de 5 kilos grâce à un simple détecteur de métaux ; C’est ce qu’a annoncé jeudi un de ses proches via le site de partage de vidéos, YouTube.

    Cette pépite a été trouvée mercredi à 60 cm de profondeur sur un site aurifère réputé près de la ville de Ballarat, à 110 kilomètres de Melbourne, dans le sud australien.

    Dans la vidéo, le proche nous raconte que «le prospecteur dit que ça a sonné comme un capot de voiture dans ses écouteurs».

    Cordell Kent, gérant d'une boutique spécialisée dans la vente d'or de Ballarat, a bel et bien confirmé la découverte. "Beaucoup de gens pensent que les champs aurifères de la province de Victoria sont morts et qu'il ne reste plus rien (...) mais il a persisté et son entêtement a payé" , a-t-il ajouté.

    La pépite, l'une des plus grosses qu'il ait vues depuis 20 ans, lui a été confiée pour qu’il puisse lui trouver un acquéreur.Ce trésor pourrait rapporter près de 240.000 euros à son propriétaire, resté anonyme.


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  • Un retraité découvre un trésor de 575.000 euros avec son détecteur de métaux

     gs gentside

    Publié le 02 mai 2010 par Maxime Lambert

     

     

     

     

    Un retraité découvre un trésor de 575.000 euros avec son détecteur de métaux
     

    Peter Beasly, retraité depuis 2003, s’est lancé dans la recherche d’objets anciens : les jardins et terrains d’Angleterre lui racontent leur histoire.

    Armé de son détecteur de métaux, Peter Beasly, ancien maçon de 68 ans, parcourt de long en large les alentours de Waterlooville où il passe sereinement sa retraite. Déterminé, voire obstiné, il cumule un butin impressionnant au milieu des morceaux de ferraille et des dents de taupe : un pendentif ayant appartenu à César vendu 35.000€, une bague normande de 92.000€, … et une vente record de 115.000€ pour 250 pièces romaines vendues au British Museum en 1996.

    Ce qui était pour l’ancien maçon un passe-temps est donc devenu une activité très sérieuse : "Fasciné par l’histoire de notre pays, (…) c’est toujours un grand moment de déterrer un objet que je sais vieux de plusieurs centaines d’années." Peter Beasly s’estime donc heureux de vivre entre Chichester et Winchester, terre foulée par Guillaume le Conquérant au Moyen-âge (XIe siècle). Son seul regret est d’avoir vu filer entre ses doigts une découverte colossale : un squelette, un bouclier saxon et des lances enterrés dans le domaine de Clanfield. Un différend avec le propriétaire des terres l’a en effet forcé à abandonner la découverte qui selon lui vaut plusieurs millions d’euros.

    Qu’à cela ne tienne, depuis, l’homme dit avoir découvert le site d’une villa romaine, près de Winchester, qui cacherait une carte géographique de toute importance : elle donnerait en effet des informations précises sur les propriétés des soldats romains, partis en retraite au Sud de l’Angleterre : à ne pas mettre entre toutes les mains, selon lui.

     
     
     

     


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  • Un trésor monétaire gallo-romain découvert près de Metz

     
    29/11/12
     
     
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    Tresor gallo romain
     

     

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    1 165 monnaies gauloises ! C’est le « trésor » sur lequel sont tombés les archéologues de l’Inrap en fouillant le site de Bassing (Moselle) en Lorraine, près de Metz.

     « Occupé pendant mille ans, de 200 avant notre ère à 800 de notre ère, ce site a révélé un établissement aristocratique gaulois, une villa gallo-romaine et plusieurs bâtiments médiévaux, riches de nombreuses armes et d’un exceptionnel dépôt monétaire », explique Laurent Thomashausen, responsable scientifique de la fouille.

    OR, BRONZE, ARGENT

    Parmi ces pièces, 3 sont en or (c’est très rare), 51 en bronze et 1 111 en argent, un métal « réservé au paiement des cadres liés au pouvoir ».

    Ce qui, combiné à la découverte de bijoux (bracelets en pâte de verre, perle d’ambre, fibules), d’amphores italiennes et d’objets militaires (pièces de char, armes), laisse penser qu’il s’agit d’un site ayant appartenu à des aristocrates gaulois qui se sont romanisés.

     

     

    DENIS SERGENT 

       

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